10 septembre 2009
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15:44
J'avais entendu dire que lors du suivi de grossesse les sage-femmes étaient en général assez strictes, qu'il fallait prendre assez de poids mais pas trop sinon on se faisait remonter les bretelles par exemple.
Alors moi, jusqu'en decembre, c'était plutot cool. Suivie par un médecin que je connaissais depuis longtemps, il me disait tout le temps que tout allait bien, que c'etait bien, que tout était parfait, exception faite de la tension.
Un jour, j'avais réussi à me trainer jusqu'à chez lui pour la visite. Là, voyant ma tension très basse, il me dit "je vais vous mettre en arrêt maladie". Trop tard, quelques jours auparavent, j'avais fait un malaise : la tension basse plus les nausées c'est imparable. Ca vous laisse cloué au lit !
Bref, à partir de décembre, c'est à la maternité que les ennuis ont commencé!
D'abord il y a eu la mesure de la glycémie. Une prise de sang à jeun, puis 75g de glucose (c'est immonde à boire, hyper sucré forcément!), puis une autre prise de sang 2h après, sachant que pendant 2h on est cloitré dans le labo d'analyses. Je peux vous dire que faire une prise de sang à jeun, c'est une vraie galère quand on a des nausées et la tension dans les chaussettes, et pendant qu'on attend 2h on pense à quoi?? Aux nausées, à la faim qui nous tortille. Eh bien sur comme par hasard, la veille au lieu de manger j'avais fait quoi??? Je m'étais pris le chou avec Sam qui au lieu de me sortir manger n'a rien trouvé de mieux que pourrir ma soirée, raconter des conneries. Ininteressant. Bref, j'aurai mieux fait de m'occuper de moi. Comme on dit "on est jamais mieux servi que par soi-même " !!!
Donc évidemment avec tout ce bazar, les résultats d'analyses ont été mauvais et mon taux de glycémie était légèrement plus élevé que la limite fixée aux femmes enceintes (qui est, il faut le savoir, plus basse que pour n'importe qui d'autre!!!).
Et qu'est-ce qu'on gagne quand on dépasse les limites?? Une lettre de l'hosto pour une hospitalisation d'une journée. Et là, j'ai appris ce que c'était que d'être prise pour une demeurée!...
Alors moi, jusqu'en decembre, c'était plutot cool. Suivie par un médecin que je connaissais depuis longtemps, il me disait tout le temps que tout allait bien, que c'etait bien, que tout était parfait, exception faite de la tension.
Un jour, j'avais réussi à me trainer jusqu'à chez lui pour la visite. Là, voyant ma tension très basse, il me dit "je vais vous mettre en arrêt maladie". Trop tard, quelques jours auparavent, j'avais fait un malaise : la tension basse plus les nausées c'est imparable. Ca vous laisse cloué au lit !
Bref, à partir de décembre, c'est à la maternité que les ennuis ont commencé!
D'abord il y a eu la mesure de la glycémie. Une prise de sang à jeun, puis 75g de glucose (c'est immonde à boire, hyper sucré forcément!), puis une autre prise de sang 2h après, sachant que pendant 2h on est cloitré dans le labo d'analyses. Je peux vous dire que faire une prise de sang à jeun, c'est une vraie galère quand on a des nausées et la tension dans les chaussettes, et pendant qu'on attend 2h on pense à quoi?? Aux nausées, à la faim qui nous tortille. Eh bien sur comme par hasard, la veille au lieu de manger j'avais fait quoi??? Je m'étais pris le chou avec Sam qui au lieu de me sortir manger n'a rien trouvé de mieux que pourrir ma soirée, raconter des conneries. Ininteressant. Bref, j'aurai mieux fait de m'occuper de moi. Comme on dit "on est jamais mieux servi que par soi-même " !!!
Donc évidemment avec tout ce bazar, les résultats d'analyses ont été mauvais et mon taux de glycémie était légèrement plus élevé que la limite fixée aux femmes enceintes (qui est, il faut le savoir, plus basse que pour n'importe qui d'autre!!!).
Et qu'est-ce qu'on gagne quand on dépasse les limites?? Une lettre de l'hosto pour une hospitalisation d'une journée. Et là, j'ai appris ce que c'était que d'être prise pour une demeurée!...
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